image de la femme en poésie

image de la femme en poésie

Les yeux pâmés, elle l’appela tout bas.Il n’eut pas le temps de répondre, car déjà la femme changeait ; des couleurs flamboyantes passaient dans ses prunelles ; ses lèvres se teignaient du rouge furieux des Anthurium (...).57. Entre ces exemples extrêmement différents se trouvent encore d’autres types de portraits, comme les silhouettes de femmes délicates et très sensuelles réalisées par Teodor Axentowicz. Les exemples sont tirés d’une part d’œuvres poétiques et romanesques et d’autre part de productions artistiques. A la fin, le narrateur se distingue par l’emploi du pronom « je » mais dans l’ensemble du poème, il emploie le pronom « nous » v. 1 et 34: image d’un couple uni Son aspect physique est conforme au canon de la femme que nous retrouvons dans l’Art nouveau : son visage est très clair, elle a les cheveux roux (et même : « cuivrés ») et les yeux brillants. D’après nous, deux facteurs capitaux déterminent les différents types de représentations des femmes fatales dans la littérature et dans l’art. Poemat dramatyczny w trzech aktach (Le Banquet d’Hérodiade. Wielki leksykon literatury polskiej (Les Époques littéraires. Le premier est le facteur chronologique et social – il concerne le contexte historique et socioculturel dans lequel les images de ces femmes ont été forgées. Célèbre dans les milieux varsoviens, Podkowiński avait fait sa connaissance pendant ses vacances dans le château de Wincentyna Karska près de Varsovie. Émile Testard, Paris, 1891. Nous n’apercevons que le visage pâle d’une jeune fille, éclairé par la faible lumière d’un réverbère, et un énorme chapeau au voile noir qui ressemble aux ailes d’un papillon de nuit. SUJET : Les Mains libres est-il un recueil qui renouvelle l'image de la femme en poésie et dans les arts ? Je ne sais pas si on peut exprimer plus génialement une adoration et une sujétion à la volupté, le calme d’une passion assouvie : Léda s’évanouit, inerte, dans une sorte d’ivresse extatique s’approchant du nirvana - - - ce n’est pas comme la femme de Podkowiński. Une sélection de poèmes sur le thème de la femme, proposés par le site de poésie française, poetica.fr. INTRODUCTION : Faits et légendes), Wydawnictwo słowo/obraz terytoria, Gdańsk, 2006, 438 p. 26  Przybyszewski St., Androgyne, in : Poematy prozą (Poèmes en prose), Podraza-Kwiatkowska M. & Kwiatkowski J. Towarzystwo Wydawnicze, Lviv, 1902, pp. Parmi les phrases le décrivant, citons : « Il court... à la crinière flottante – le feu s’exhale de ses naseaux / Les yeux affolés, injectés de sang, flambent. A., « W sieci »(Dans la toile), in : Dramaty (Drames), sous la direction de Taborski R., Wydawnictwo Ossolineum, Wrocław, 1969, pp. 52 François A., « La femme-félin, figure zoomorphe transculturelle », in : Culture visuelle (Média social d’enseignement et de recherche) [En ligne]. 2L’image de la femme dans la littérature et l’art de cette époque est hétérogène et pleine de contradictions. Elle connaît bien la mentalité des hommes et elle sait les provoquer, les séduire, les tenter avec sa sensualité. C’est quelqu’un qui ne suit que son penchant pour le pouvoir et le Mal. 663-664. Zakład Narodowy im. Sur un fond de mosaïques dorées, l’artiste dessine les portraits de femmes considérées comme la quintessence de la fatalité de la Belle Époque. Pourtant, elles étaient loin d’être les seules à figurer des personnages hétérogènes dans la prose et dans la poésie de la Jeune Pologne. 26-27. L'Angoisse Et ma méthode, si ce mot n’est pas prétentieux – on peut le penser –, sera de tenter de percevoir et d’identifier ce qui est poésie, spécifiquement, dans la complexité…. Pablo Neruda Poème 4 C'est le matin plein de tempête au coeur de l'été. 133-135. 7  Ripa C., Iconologia overo Descrittione dell’Imagini Universali cavate dall’Antichità et da altri luoghi (Iconologie, ou Explication nouvelle de plusieurs images, emblèmes et autres figures hiéroglyphiques des vertus, des vices, des arts, des sciences et des passions humaines), Rome, 1593 (l’œuvre a été traduite en français par Jean Baudoin en 1643). Ainsi, nous vous proposons de vous faire découvrir une anthologie dont le thème est Femmes en Poésie. Les autres œuvres : Chrystus. Le motif est connu depuis l’Antiquité, surtout grâce aux Métamorphoses d’Ovide qui contiennent l’histoire de la transformation de Daphné en laurier.55 Nous retrouvons aussi ce mode de métamorphoses dans la littérature polonaise, par exemple dans l’œuvre de Jan Kochanowski et d’autres poètes de l’époque de la Renaissance et du Baroque56, et puis dans la littérature et l’art fin de siècle aussi bien polonais qu’européens. Ils restent sûrement sous le charme de la grande beauté de la reine et de son environnement exotique, mais aucun indice ne nous laisse penser qu’ils se sentent totalement dépendants d’elle, sous l’emprise de sa fatalité féminine. 32Madeleine est par exemple l’héroïne du poème « Eloé et Madeleine » de Bronisława Ostrowska (1911)44. 8  Par exemple : Portret kobiety (Portrait de femme, 1898 et 1907) ; Rudowłosa (Une rousse, 1899) et autres. 43Cette double nature de la femme, si accentuée à l’époque, s’exprime dans tous ces exemples par des formes variées et riches qui font fusionner deux êtres : un être humain et un animal ou un végétal. Je la mordrai avec mes dents comme on mord un fruit mûr. Þ courtiser la femme aimée - la poésie savante s’adresse à un public cultivé. La fille du sud, nécessairement fougueuse, sauvage toujours, semble mieux répondre au modèle du chat, c’est la Carmen de Mérimée, la « Vieille Maîtresse »de Barbey d’Aurevilly ou la « Concha »de Pierre Louÿs. 10  Charazińska E., « Ćma nocna » (Papillon de nuit), in : Koniec wieku. Miron nous entraîne dans les méandres d’une société québécoise en souffrance et met des mots sur le malaise poético-linguistique d’un peuple entier. La femme aimée est finalement pour Baudelaire inaccessible, à l’image de la Passante (« A une Passante »). 1-191. 58  Berent W., Ozimina (Le Blé d’hiver), éd. Volume flou d'une tendance bohème, tombé asymétrique d'un esprit couture ou ligne structurée d'un style business, les vêtements pour femme créent la personnalité tout en racontant une histoire. 2-2 Une image immortalisée par la poésie : - harmonie qui se dégage de cette évocation de la femme grâce au rythme donné par la polysyndète de la conjonction « et », par la répétition ou la reprise de termes ou expressions, par la répétition des mêmes sonorités à l’intérieur du vers et à la rime (« souvent » / … 9  La peinture citée est très représentative mais peu connue. 4 - Une femme est l'amour de Gérard de Nerval, extrait du recueil Poésies diverses (1843). Ce nest pas forcément dans limage que nous la retrouvons, mais plutôt dans le langage ( langage intime, esthétique ou subversif, révolutionnaire). 62  Wolski W., « Loo Toroo », in : Powieść tajemna. Nous y trouvons par exemple des phrases multipliant les adjectifs qualificatifs, pleines d’une emphase typique pour la poésie de la Jeune Pologne, telles que : « Soudain, elle s’est figée dans un spasme de folie flamboyante » ; « Son jeune corps brûle d’un désir purpurin » ; « Ses prunelles sont un seul cri de désir »35. C’est une femme à deux visages : elle est déchirée entre un idéal spirituel et un bonheur humain. Elles sont, pour la plupart des poètes, un véritable sujet de prédilection et ont toujours … Deuxième Série), éd. 29  Lady Lilith de Dante Gabriel Rossetti (1869). Ces monstres mythiques, fabuleux aux torses de femme, aux cheveux roux, aux griffes acérées et au regard séduisant sont présentés dans l’œuvre de Malczewski, dans des contextes divers. Les artistes semblaient oublier que les causes des décapitations d’Holopherne et de saint Jean-Baptiste étaient totalement différentes, et ils présentaient aux spectateurs la même personnification de la sensualité féminine. Ossolineum, Wrocław, 1976, pp. C’est peut-être la raison pour laquelle Klimt a proposé deux titres pour son tableau de 1909 : Judith et... Salomé. 23  Przerwa-Tetmajer K., « Obraz Podkowińskiego », art. 27L’analyse de l’image de Salomé ne serait pas complète si nous négligions la présence des éléments nécrophiles. 22  Przerwa-Tetmajer K., « Danae Tycjana »(Danaé du Titien), in : Poezje, op. J’ai baisé ta bouche, Iokannan, j’ai baisé ta bouche.37. Quelques années plus tard, Ostrowska a écrit un poème « Madeleine, silence de champ ! cit., p. 196.Nous ne pouvons être sûrs que Kazimierz Przerwa-Tetmajer sût que l’œuvre de Michel-Ange avait disparu des siècles auparavant et qu’il décrivît un tableau de Peter Paul Rubens, fait aux alentours de 1600 d’après une peinture de Michel-Ange. Toutes les traductions en français des citations en polonais sont de l’auteure du présent article. Wybór poezji (L’Heure blanche. La fille porte dans ses mains un miroir et une fleur de tulipe jaune, pouvant symboliser les sens humains que sont la vue et l’odorat. Un critique polonais, Dariusz Trześniowski constate que l’auteur a doté son héroïne de traits propres à un être fatal : [Elle est] montrée (de même que la Salomé de Kasprowicz) comme un idéal de beauté de l’Art nouveau, c’est « une femme envoûtée par Éros », une femme qui a un tempérament violent, aux désirs inassouvis, cherchant une satisfaction androgyne. Seria druga (Le roman secret. Nous le connaissons grâce aux informations données par Flavius Josèphe (Ier  siècle après Jésus-Christ) dans son œuvre principale L’Histoire ancienne d’Israël. Oui, je baiserai ta bouche, Iokanaan. 20Pour compléter l’image de la femme fatale « à la polonaise », il faut encore signaler ses représentations les plus controversables, provenant de nombreux textes littéraires (principalement des poèmes en prose), théoriques et critiques de Stanisław Przybyszewski qui peut être reconnu, lui-même, comme un homme fatal. La femme est en effet un objet de consommation dont certains ont pu dire qu’elle l’était au même titre que le réfrigérateur, le fer à repasser, le poste de télévision, la voiture, etc. 16Pour conclure notre commentaire de la peinture de Podkowiński, nous nous permettrons d’alléguer les mots de Kazimierz Przerwa-Tetmajer, un des plus grands poètes de la Jeune Pologne. La Poésie n’était au premier âge qu’une Théologie allégorique, pour faire entrer au cerveau des hommes grossiers par fables plaisantes et colorées les secrets qu’ils…. L’art du modernisme polonais 1890-1914), sous la direction de Charazińska E. & Kossowski Ł., éd. D’après nous, dans l’hymne « Salomé » (1899)39, Kasprowicz a formé une image de la princesse biblique qui s’inscrivait entièrement dans le paradigme de la femme fatale, décrite par Praz comme un être cruel, ayant des inclinations sadomasochistes, mais apparaissant parallèlement comme un être extatique et coquet. ), Wydawnictwo Literackie, Cracovie, 2003, p. 407. Cependant, comme le constate Mario Praz, ce n’est pas la seule imagination des artistes et des poètes qui en a fourni les images les plus remarquables pendant des siècles. Dès le vernissage à Varsovie en mars 1894, le tableau suscita un grand intérêt mais il inspira en même temps de la répulsion et souleva de nombreuses objections. 12La femme fatale de l’époque est toujours entourée d’une énigme, de secrets, de l’intimité de sa vie privée. Ces démarches ne sont pas restées infructueuses. 12  Kisielewski J. Enveloppée dans du noir, regardant d’une manière séduisante du dessous de son chapeau aux ailes larges, elle constituait une des figures incontournables de la ville. Ce poème d' aspiration baroque developpe deux axes d'étude se détachant de cette oeuvre , en outre Baudelaire renverse les traditions par l"idalisation du laid passant par la représentaiton de la charogne, et par ce fait revoquer l'image de la femme aimé, ainsi apprait un celebration ironique la femme . Anthologie sur la femme. Il parvient à en dégager une beauté inédite, aux colorations étranges et parfois morbides. Cependant, comme le constate Mario Praz, ce n’est pas la seule imagination des artistes et des poètes qui en a fourni les images les plus remarquables pendant des siècles. Instytut Wydawniczy, Biblioteka Polska, Varsovie, 1924, p. 87 ; « Lubię, kiedy kobieta... » (J’aime, quand une femme...), in : Ibid., p. 203. Ce sont ces femmes-là qui ont rompu les traditions consacrées par des générations et qui ont défié toutes les convenances de l’époque. François accentue en particulier leurs aspects visuels et leur caractère ambivalent : En littérature (...), généralement la femme-chatte n’est pas un monstre, mais une humaine « normale » qui se démarque par son apparence, son comportement, ses accessoires, voire ses animaux domestiques… Souvent elle est brune, répondant à un fantasme exotique de la bourgeoisie du XIXe siècle. ➢ L’œuvre : Les Fleurs du mal, 1857…. Eh bien ! En respectant l’ordre chronologique, nous citerons d’abord des femmes de l’Ancien Testament, à commencer par Lilith, personnage légendaire, dont le nom paraît dans le Livre d’Isaac (34 :14). On peut supposer que la femme qui servit de modèle était Ewa Kotarbińska. URL : http://culturevisuelle.org/detresse/archives/20 (document consulté le 27 décembre 2012). Ossolińskich, Wrocław, 1983, pp. Pour les cent bibliophiles, Paris, 1903, pp. Elżbieta Charazińska décrit ce type d’image de la façon suivante : La femme fatale de la Jeune Pologne était une héroïne des paysages urbains nocturnes. Certaines œuvres choisies d’Odilon Redon et les visions hallucinatoires de Jean des Esseintes du roman de Huysmans se distinguent néanmoins des autres. Amis lecteurs, nous le savons tous la femme est la plus belle chose qui soit. Il semble que, parmi ces trois manifestations artistiques, le type de la femme-hybride, représenté dans des œuvres d’artistes bien connus à l’époque, soit le plus riche et le plus intéressant. 41  Zawistowska K., « Herodiada »(Hérodiade), in : Poezje (Poésies), éd. Ces hommes remettent leur âme entre les mains de leur maîtresse et deviennent ses serviteurs.47 C’est une image bien différente de celles que nous admirons sur les toiles des peintres européens.48 Premièrement, nous pouvons remarquer que les artistes étaient essentiellement inspirés par la beauté exceptionnelle de la reine d’Egypte ou encore par le moment de sa mort. Ces exemples sont tirés d’une part d’œuvres poétiques et romanesques et d’autre part de productions picturales. 2 - La poésie est une femme de Armand de Flaux, extrait du recueil Sonnets et poésies (1864). nombreuses fois réécrites). 107-115. Mais le parcours t’invite à nuancer cette représentation que nous avons d’Apollinaire. C’est sur le plan thématique (poésie urbaine, une poésie du « non-poétique ») que l’influence baudelairienne est essentielle : il écrit une poétique de la contre-nature (faire de la laideur un objet esthétique). Une présence constante de la femme fatale dans la mythologie et dans la littérature européennes est motivée par d. figures les plus spectaculaires : il s’agit des personnages historiques, mythiques et surtout fantastiques. 24Il en est de même pour Ève, sombre héroïne d’une fameuse peinture de Franz von Stuck intitulée Le péché (1893), sur laquelle nous ne voyons que son visage, son torse nu, ainsi qu’un grand reptile autour de son corps. En tant que première femme fatale dans l’histoire du genre humain, Lilith est également présente sur les toiles des artistes européens du XIXe siècle : la femme, d’une beauté accomplie, au corps idéal et aux cheveux roux29 est parfois enlacée par un serpent30. Poème socio-religieux), éd. Ce poème appartient aux œuvres dites de la négritude, mouvement littéraire et politique né durant l’entre-deux-guerres sous l’égide d’écrivains noirs francophones dont Léopold Sedar Senghor ou encore Aimé Césaire(1913-2008) sont les plus célèbres. 3  Bajda J., « Kobieta młodopolska » (La femme de la Jeune Pologne), in : Bajda Justyna et alii, Epoki literackie. 34Les deux femmes sont, d’après Trześniowski : (...) Les grandes maîtresses, possédées par un besoin d’affection, les deux inapaisées dans leurs recherches. Muzeum Narodowe w Warszawie, Varsovie, 1996, p. 210. Contrairement aux textes des Évangiles, elle est représentée comme une personne entièrement consciente de tout ce qu’elle veut. cette chuć. Tout d’abord, je présente les figures de femmes fatales contemporaines (appartenant entièrement à la réalité de l’époque de la Jeune Pologne). Tous ces personnages, beaux et sensuels, incarnent un instinct sexuel, une grande passion, les secrets et les mystères de la femme. URL: http://journals.openedition.org/slavica/1257; DOI: https://doi.org/10.4000/slavica.1257, Docteur habilité, maître de conférences de la Faculté des Lettres, Institut de Philologie Polonaise, Université de Wrocław (Pologne). Gebethner i Sp., Cracovie, 1908, p. 83. Parmi les idées récurrentes, la nature de la féminité était l’une des plus intrigantes, excitant partout la curiosité. Księgarnia J. Czerneckiego, Varsovie, 1912. 59  Przerwa-Tetmajer K., « Kwiat symboliczny »(La Fleur symbolique), in : Poezje, op. En poésie, son nom est désormais indissociable de « modernité ». Ossolineum, Wrocław, 1974. Même clouée sur la croix – comme sur le fameux dessin de Félicien Rops – la maîtresse ne cesse de tenter et de provoquer l’homme.26 Dans les études critiques Sur les chemins de l’âme, où sont décrites les œuvres de Rops et d’Edvard Munch (ses artistes préférés), Przybyszewski glisse ces phrases pleines d’emphase : La femme (...) est une puissance cosmique épouvantable (...) qui a réveillé dans l’homme « chuć » (...). Une telle image de la femme est peu représentée dans la peinture polonaise de la fin du XIXe siècle, mais elle apparaît par exemple sur la toile de Leon Kaufmann (Kamir) intitulée Ćma nocna (Papillon de nuit, 1899)9, qui présente une femme fatale moderne. La poésie concrète apparaît au début des années 1950 dans les pays germanophones et une vingtaine de pays du monde comme, entre autres, au Brésil, aux États-Unis, en Italie, en … 28Dans la littérature polonaise, nous trouvons des passages semblables. Elles ne sont jamais définitivement achevées et restent ouvertes à plusieurs interprétations.8. C’est autour de ce personnage que se produit l’intrigue du roman de Gustaw Daniłowski Marie Madeleine42. Elle reste également une création artistique appréciée simplement pour sa beauté. 45Pour conclure, nous nous permettrons d’insérer une citation datant des années 1860 afin de rappeler la thèse de Praz évoquée au début de notre article, selon laquelle, de tous temps, aussi bien au temps de Baudelaire, des Parnassiens, des grandes écoles réalistes ou naturalistes, la femme a été perçue comme un être incompréhensible et « impénétrable ». 40Parmi les images fantastiques qui relient une silhouette féminine au monde animal, nous remarquons encore celles qui figurent sur les toiles d’Edward Okuń. On y distingue aussi les motifs iconographiques les plus connus de la peinture et de la poésie européennes de la fin du XIXe siècle, parmi lesquels la femme et l’amour qui se trouvaient alors au sommet de leur popularité. 161-176. Le Lézard, avant 1906), une femme-léopard (Mademoiselle Léopard, vers 1906), une femme-paon (La Paonne, vers 1905 ; L’Enivrement de printemps, vers 1906). Par poésie expérimentale on entend différents mouvements tels que ceux de la poésie concrète, visuelle et sonore. 38Nous nous sommes permis de réserver pour la fin de ces quelques réflexions sur les femmes historiques le personnage d’Agrippine qui est devenu pour Zawistowska un exemple de femme-hybride. Sa cruauté et sa sensualité sont comparées au comportement d’une tigresse sauvage.51 C’est une figure bien connue dans la littérature européenne. Il s’agit d’une œuvre de Władysław Podkowiński, Szał uniesień (La Folie, 1894), qui représente le nu d’une femme aux cheveux roux, enfourchant un cheval à cru. C’est surtout Salomé qui est présente chez Jan Kasprowicz, un des plus grands poètes de la Jeune Pologne. Nous pouvons supposer que les poètes voulaient distinguer quelques personnages bibliques comme Marie – la pécheresse, Marie de Magdala (Marie la Magdaléenne) et Marie de Béthanie. Cette approche est bien visible dans la phrase finale du sonnet : « Et le reptile a enlacé son buste de reine (...) d’une ceinture d’émeraudes, meurtrière. L’utilisation d’apostrophes : « mon âme », v1, « ô ma beauté » 45 L’impératif « rappelez-vous » 1 « dites » 45 Ma Bohème, Rimbaud Poezje. Si, en réalité, un enfant est le fruit de l´homme et de la femme, il convient de dire que la femme se dépense plus généralement un peu plus pour les enfants que l´homme. LA POESIE MEDIEVALE - la chanson de geste célèbre les exploits et vertus guerriers.

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